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Israël pétrifié par un nouveau suicide de psychiatre

vendredi 18 juin 2010 - 06h:30

Michael K. Smith
Legalienation News Bureau

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L’analyste du ministre de la Défense meurt d’une overdose de Valium. Le pays redoute une épidémie de « psychocides ».

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Les deux criminels sionards ont perdu chacun leur psychiatre en quelques jours.
Israël craint une vague de "psychocides" dans une communauté psychiatrique en plein désespoir !!!
(photo Ha’aretz - Dudu Azoulay)




Tout juste une semaine après que le psychiatre de Benjamin Netanyahu, Moshe Yatom, se fut suicidé de désespoir, étant dans l’incapacité de trouver un traitement permettant de sauver le Premier ministre israélien, voici qu’un nouveau suicide de psychiatre laisse Israël groggy.

Yigal Peleg, 61 ans, un collègue de M. Yatom, qui soignait le ministre de la Défense Ehud Barak atteint du Syndrome de Dépendance à la Sécurité (SDS), a été retrouvé sans vie à son domicile de Tel Aviv lundi après midi : il est décédé d’une surdose de Valium. Un billet laissé par le suicidé indiquait que l’échec de Yatom avait provoqué un désespoir généralisé au sein de la communauté psychiatrique israélienne, qui redoute que la découverte d’un traitement de la schizophrénie ne soit repoussé à bien plus tard qu’on ne le pensait auparavant. Le Syndrome de Dépendance à la Sécurité (Security Addiction Disorder, SAD, en anglais), qui se traduit le plus souvent par des ouragans de délire schizophrénique, est par ailleurs désormais considéré comme totalement incurable.

La perte de ces deux psychanalystes aussi extraordinairement efficaces dans le traitement de la dépression clinique en aussi peu de temps amène Israël à redouter qu’une vague de « psychocides » ne soit à prévoir. Beaucoup de responsables gouvernementaux subissent actuellement une analyse, la quasi-totalité d’entre eux souffrant du même penchant pour la pensée duplice qui a mis sur le flanc Yatom et Peleg. Si les traitements actuellement disponibles persistent à s’avérer inefficaces, le risque est grand qu’il n’en résulte un véritable « Jonestown (*) » psychiatrique.

« Le profane n’imagine pas le stress que suppose le traitement d’une psychose d’origine idéologique », fait observer le Dr. Rafael Eilam, auteur du best-seller La Dinguerie Sionarde sur le Divan : La Quête Périlleuse d’un Traitement Miracle (Sanity Books, 2010). « Prenez par exemple le Syndrome de la Dépendance à la Sécurité (SDS). Un client affecté de cette maladie est tout simplement incapable de comprendre que la domination et la sécurité ne sont pas la même chose. Dominer autrui, c’est au contraire garantir son insécurité, dès lors que le dominé cherchera instinctivement à échapper à votre domination par tous les moyens possibles ». Etant donné la cécité quasi-totale des patients affectés par le SDS à leur propre agression, les psychiatres qui les traitent sont très souvent dans l’incapacité de résister à des pulsions irrésistibles de s’éclater la cervelle avec le premier objet contondant à leur tomber sous la main. Cela a pour effet de réduire la qualité de leurs recherches ultérieures.

Des problèmes similaires se posent aux psychanalystes qui traitent le MAD (**), le Massive Attack Disorder (Syndrome de l’Attaque Massive), dont il se dit qu’il est endémique chez les dirigeants israéliens. Les patients affligés de cette terrible maladie sont dépourvus de la maturité qui leur permettrait de comprendre ce dont ils ont réellement besoin, sans parler de ce dont ont besoin les autres : ils détruisent tout ce qui se trouve dans leur voisinage, comme un bambin colérique bousillant ses jouets. Cette maladie a un pronostic très défavorable, les victimes ne remarquant typiquement pas qu’ils vont encore bien moins qu’avant après chacune de leurs crises. D’après le Dr. Eilam, les agressions sauvages d’Israël contre le Liban et la bande de Gaza, ces dernières années, peuvent être attribuées à leur prédisposition au syndrome MAD, ces deux agressions ayant contribué de manière substantielle au statut de paria que connaît actuellement ce pays.

Dans ce qui constitue un développement quelque peu surprenant, les psychiatres du monde entier se consultent pour apporter leur soutien à leurs collègues israéliens menacés en constituant le mouvement Free Israel. Comme première action marquante, ils ont l’intention d’envoyer une flottille vers Tel Aviv, chargée d’aide humanitaire d’urgence destinée aux psychanalystes israéliens et à leurs patients d’élite. Il s’agira, en l’occurrence, de tonnes d’antidépresseurs pour les premiers et de tranquillisants vétérinaires destinés aux éléphants, pour les autres. Les organisateurs de la flottille reconnaissent que ce ne sont là que des palliatifs, mais ils arguent du fait qu’il a été démontré que les tranquillisants pour éléphants sont tout au moins modérément efficaces pour calmer les symptômes de la Zionist Infantile Outburst Neurosis (ZION) [Névrose infantile sioniste cataclysmique], dont le plus dangereux est une compulsion chronique à voler, à extorquer, à torturer et à massacrer tous ceux qui, dans l’opinion de la victime (par définition infaillible) dudit syndrome, font obstacle à leur marche en avant vers le Paradis sioniste.



Notes :

(*) Jonestown est une localité du Guyana (ex-Guyane britannique, près du Venezuela) où 914 adeptes de la secte du Temple du Peuple se sont suicidés collectivement en 1976 (ndt).

(**) Mad, en anglais, signifie : cinglé (ndt).

15 juin 2010 - Legalienate - traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier


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