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Réflexions sur les attentats de Bruxelles

mardi 10 mai 2016 - 06h:11

Richard Falk

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Les attentats de Bruxelles sont le signe d’un défi à la guerre traditionnelle. Les capacités de représailles et la stratégie des adversaires non-occidentaux traumatisent l’Occident.

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Ricrad Falk a été durant 6 années, rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés

La dernière atrocité terroriste en date que l’OEI a revendiquée montre le nouveau visage de la guerre du 21ième siècle dans laquelle il n’y a pas de lignes de front, pas de voies vers une victoire militaire, mais une extrême vulnérabilité des populations civiles. C’est en soi un défi radical à la conception traditionnelle que nous avons de la guerre, et à moins que les réponses apportées ne prennent en compte ces réalités, les démocraties occidentales pourraient sombrer progressivement dans une frénésie politique et se trouver confrontées à la résurgence de politiques fascistes.

La virulence du virus fasciste en sommeil dans tout corps politique en Occident a déjà révélé sa force par l’étonnante vigueur de la course à l’investiture du parti républicain pour la prochaine élection présidentielle américaine de D. Trump et T. Cruz .

Peut-être que la caractéristique la plus importante de ce modèle de guerre du 21ième siècle, notamment, telle qu’elle se déroule au Moyen-Orient, c’est la volonté et la capacité des extrémistes violents d’importer le champ de bataille chez ceux qu’ils perçoivent comme leurs ennemis, et de compter sur des Européens et des Nord-Américains extrêmement marginalisés pour exécuter les opérations sanglantes suicidaires.

L’Independent britannique a trouvé le ton juste dans son commentaire, le seul quasiment des commentaires dans les médias à aller au-delà des condoléances, des dénonciations, et déclarations de résolutions de vaincre et détruire l’OEI. Ce commentaire citait en partie la déclaration de l’OEI revendiquant la responsabilité des attentats de Bruxelles : ‘Que la France et toutes les nations qui suivent son exemple sachent qu’elles resteront tout en haut de la liste des cibles de l’OEI et que l’odeur de mort ne les quittera pas tant qu’elles participeront à la campagne des croisés … [par le biais de] leurs frappes aériennes contre les musulmans sur les terres du Califat.

L’OEI a aussi rendu public aujourd’hui une vidéo non datée menaçant d’attaquer la France si elle poursuivait ses interventions en Irak et en Syrie. ‘Tant que vous bombarderez vous ne vivrez pas en paix. Vous craindrez même de vous rendre au marché,’ a dit l’un des militants, dénommé ‘Abu Maryam le Français.’

Cette déclaration est suivie de l’énoncé que les états occidentaux et ceux du Golfe se sont livrés à 11 111 frappes aériennes contre la Syrie et l’Irak, causant des pertes massives, des déplacements de populations, et d’immenses dégâts, surtout dans les zones sous contrôle de l’OEI. Il est clair, comme l’atteste l’attentat en Belgique, que pour l’OEI l’unité européenne est un fait acquis, faisant de la France le lieu de l’épicentre, et de l’Europe toute entière une zone de combat cruciale.

Faire remarquer cette réalité ne vise aucunement à atténuer la barbarie des attentats de Bruxelles, ou de ceux qui les ont précédés à Paris, ni d’en offrir une rationalisation, mais montre à l’évidence qu’intervenir au Moyen-Orient, voire ailleurs dans les pays du Sud, n’est plus assortie de la garantie que les sociétés interventionnistes resteront à l’écart de la zone de combat et continueront à jouir de ce que l’on pourrait appeler ‘ l’exonération du champ de bataille.’

Globalement la violence soutenue des principales guerres anticoloniales, même celle de la longue guerre du Viet Nam, était circonscrite à la société colonisée, affectant tout au plus ses voisins immédiats.

Il y a eu dans les années 1970 et 1980 des signes sporadiques d’un tel changement de tactique : l’IRA exporta son combat d’Irlande du nord en Grande Bretagne, et les détournements d’avions par l’OLP, les explosions libyennes dans une discothèque allemande fréquentée pas des soldats américains, et les attaques d’athlètes olympiques israéliens par l’OLP à Munich préfigurent aussi les efforts de contre-attaquer des entités étrangères hostiles considérées être responsables de la non réalisation des objectifs politiques.

I’OEI se montre plus avisée dans l’exécution de telles opérations, et peut compter sur des adeptes du cru, prêts à s’engager pour une mission suicide dont la motivation est souvent secondée par des motifs religieux, qui justifient le mépris le plus total pour les civils innocents.

Comme dans toute confrontation armée, il est essentiel de tenir compte de toute innovation et d’opter pour les politiques qui semblent offrir les meilleures chances de succès. Jusqu’à présent les réponses publiques occidentales n’ont pas su apprécier à leur juste valeur le caractère réellement novateur et le défi afférent de l’adoption par l’OEI de ces stratégies impliquant un méga-terrorisme sur le territoire de leurs adversaires occidentaux comme moyen asymétrique d’étendre le champ de bataille.

Les attentats

Les attentats du 22 mars en Belgique ont eu lieu dans le hall des départs de l’aéroport international situé dans la ville Zaventem, à onze kilomètres de Bruxelles et dans la station de métro Maelbeek au cœur de la capitale, près du siège de l’Union Européenne. Selon les rapports plus de 30 personnes ont été tuées et le nombre des blessés s’élève à 250.

Le moment choisi pour ces attentats a d’abord fait penser qu’il s’agissait d’une vengeance pour la capture quelques jours auparavant à Bruxelles de Salah Abdeslam, le cerveau présumé des attentats de Paris du 13 novembre 2015. Il importe peu que cette interprétation soit juste ou non. Ce que l’on sait à coup sûr c’est que les évènements de Paris et ceux de Bruxelles sont de toute évidence liés, et que l’envergure de l’opération a reposé sur des semaines, voire des mois, de planification et de préparation.

La nature même de l’événement constitue un défi supplémentaire, profondément alarmant, au maintien de l’ordre public intérieur dans un espace démocratique, tandis que le conflit de plus en plus atroce augure mal de l’avenir de la sécurité humaine en milieu urbain partout dans le monde.

La poussée xénophobe hystérique est une expression de peur et de haine tandis que les politiques américains débattent de l’interdiction qui pourrait être faite à tous les musulmans d’entrer sur le territoire national et que les Européens paient une grosse rançon à la Turquie pour qu’elle enferme les réfugiés syriens à l’intérieur de ses frontières.

Nous ne sommes pas censés remarquer que les actes de terrorisme récents sont principalement commis par des personnes résidant, et souvent nées, dans la société qui ferme ses portes aux étrangers, démarche propre à accentuer le sentiment d’aliénation et la colère de ceux de l’intérieur dont l’identité ethnique et religieuse en fait des cibles de discrimination et de suspicion.

Jusqu’ici, les déclarations officielles des dirigeants politiques se cantonnent à la ligne anti-terroriste habituelle, et ne manifestent guère une compréhension de ce qui distingue ces évènements, pas plus qu’elle ne suggère comment faire face au mieux aux divers défis posés.

Le premier ministre belge, par exemple, a décrit les attentats comme étant « aveugles, violents, lâches, » et a ajouté la promesse belge de faire preuve de la résolution nécessaire pour vaincre l’OEI et la menace qu’il pose.

Le président français François Hollande, ne ratant jamais l’occasion d’énoncer les banalités évidentes a simplement juré de « combattre sans relâche le terrorisme sur le plan international et sur le plan intérieur. » Et se saisissant de l’occasion pour ressouder l’unité européenne, visiblement si fragilisée par les dangereuses tensions récentes générées par les âpres conflits sur la politique fiscale et la recherche d‘une politique commune à l’égard des migrants, François Hollande a ajouté, « le terrorisme a frappé la Belgique, mais c’était l’Europe qui était visée. »

Il semble improbable que de tels appels à l’unité produisent d’autres résultats que la mise en berne des drapeaux, et des discours d’empathie. Ce qui devrait maintenant être évident, c’est que ce n’est pas seulement l’Europe qui fait l’objet d’une menace permanente, et il est compréhensible qu’elle s’inquiète de l’éventualité d’attentats futures, exprimant tout haut la crainte de voir des cibles vulnérables comme les centrales nucléaires menacées. C’est pratiquement le monde entier qui est maintenant exposé à des bouleversements violents d’origine contradictoire : intervention et terrorisme.

Le président Obama a offert ses sincères condoléances aux familles endeuillées des victimes et a exprimé sa solidarité avec l’Europe sur la base de « notre engagement partagé à vaincre le fléau du terrorisme. » Il est décevant, une fois de plus, de ne pas voir se manifester une plus grande compréhension du phénomène, à savoir qu’il s’agit d’une sorte de guerre dans laquelle la violence perpétrée par les deux camps viole la sécurité et la souveraineté de l’autre.

A moins d’en prendre conscience, nous continuerons à penser que la ‘violence légitime’ se limite comme il se doit aux territoires des sociétés non-européennes comme lors de l’ère coloniale, et maintiendrons que les actes de représailles sont du terrorisme, c’est à dire de la ‘violence illégitime.’

Ce qui jusqu’ici fait défaut à ces réactions, c’est à la fois une sensibilité conceptuelle à l’originalité et à la nature de la menace, et en parallèle une volonté minimale de se livrer à un auto-examen réactif à la déclaration de l’OEI qui semble être l’expression de ses motivations.

Il ne s’agit pas de prêter foi à une telle justification de la criminalité, mais plutôt de trouver la meilleure manière de concevoir ce que l’on pourrait définir comme ‘un intérêt personnel éclairé’ compte tenu du contexte inquiétant, ce qui pourrait très bien commencer par l’étude de la compatibilité du racisme intérieur et de la diplomatie interventionniste avec l’éthique, les lois et les valeurs de cette ère postcoloniale.

Dans cette optique le magazine conservateur emblématique, The Economist, se révèle bien meilleur que les dirigeants politiques, au moins lorsqu’il met l’accent sur des mesures non violentes qui peuvent être prises pour améliorer l’application de lois de prévention. Le magazine fait remarquer qu’il faudrait analyser la portée des attentats de Bruxelles du point de vue crucial de la politique mise en oeuvre : les limites actuelles auxquelles les services de renseignement sont assujettis en matière d’action préventive, qui à elle seule protégerait la société en identifiant et en éliminant les menaces à l’avance.

The Economist souligne à juste titre qu’il est devenu plus important que jamais d’optimiser les efforts internationaux pour partager les renseignements relatifs aux activités des extrémistes violents, bien qu’il évite aussi de prendre en considération les causes premières, ce qui est seul susceptible de rétablir la normalité et d’assurer la sécurité humaine.

Passer d’une approche réactive à une approche préventive pour défendre l’ordre social intérieur signifie opérer une réorientation fondamentale en examinant la nature des menaces contre la sécurité, et réfléchir à comment minimiser leur létalité croissante.

Ce type de guerre postmoderne présente trois nouvelles caractéristiques :

- propagation de la terreur dans l’ensemble de la société ;
- ouverture d’un espace gigantesque aux démagogues irresponsables et répressifs dans les sociétés visées ;
- et déchaînement stupide de mesures de rétorsion d’ampleur excessive dans des pays lointains qui ont tendance à propager le virus de l’extrémisme violent partout sur la planète plutôt que de l’éradiquer.

Comme il a souvent été observé, il n’y a aucun moyen de savoir si les drones et les frappes aériennes ont davantage pour effet de tuer de dangereux adversaires ou d’effectivement gonfler les rangs des terroristes en s’aliénant les populations et en favorisant le recrutement.

Il n’est pas encore suffisamment compris que la terreur d’état répandue par les drones et les missiles touche également toute la société civile d’une ville voire d’un pays attaqué, et il est extrêmement trompeur de considérer que l’impact létal se limite au décompte des morts.

Les personnes vivant au sein de communautés ou d’états visés vivent toutes dans la terreur après l’attaque d’un missile distant, et la prise de conscience que ceux qui sont ciblés n’ont aucun moyen de se défendre aggrave cette anxiété.

Le recours des États-Unis à la guerre par drones en Asie, au Moyen-Orient, et en Afrique a imprudemment créé un précédent que les générations futures en Occident et ailleurs pourraient être amenées à regretter amèrement. Contrairement à ce qui existe pour les armes nucléaires, il n’y a pas pour les drones de régime de non prolifération et il n’y a pas d’équivalent de la doctrine de dissuasion visant à prévenir leur utilisation, et même ces outils de gestion du nucléaire, bien qu’efficaces pour éviter le pire, sont loin d’être acceptables.

Cette nouvelle guerre

Ces aspects plus profonds et négligés jusqu’ici des attentats de Bruxelles doivent être saisis avec humilité, et il faut y réagir en faisant appel à l’imagination politique et morale pour identifier ce qui fonctionne ou pas dans cette nouvelle ère, qui place la prévention des atrocités tout en haut des priorités en guise d’explication pour les formes les plus intenses, répandues et croissantes d’insécurité humaine.

Tout d’abord, et surtout c’est la rencontre entre deux camps qui ne connaît pas de frontières, ne peut être assimilée à la guerre traditionnelle entre deux états, et qui oppose de nouveaux types d’acteurs politiques hybrides.

Il y a d’un côté une combinaison déroutante de réseaux transnationaux d’extrémistes islamiques, et dans un cas un califat auto-proclamé (OEI) usant de représailles contre des cibles civiles les plus sensibles en Occident, et par là même adoptant une doctrine qui proclame explicitement une stratégie qui exalte le crime contre l’humanité.

De l’autre, se trouve une coalition d’états menée par les États-Unis, avec des bases étrangères et des forces navales réparties partout dans le monde qui cherchent à détruire l’OEI et les djihadistes apparentés, où qu’ils se trouvent au mépris de la souveraineté des pays étrangers.

Les États-Unis ont cessé depuis longtemps d’être un état normal défini par des frontières territoriales. Ils agissent depuis plus d’un demi-siècle comme un ‘état mondial’ détenteur des droits de propriété sur la totalité des terres, mers, air de la planète.

Il est ensuite crucial de reconnaître que les drones occidentaux et les forces paramilitaires spéciales qui opèrent dans plus d’une centaine d’états constituent une forme de violence d’état intrinsèquement imprécise et souvent aveugle, qui propage sa propre forme de terreur parmi les populations civiles dans divers pays du Moyen-Orient, de l’Asie et de l’Afrique.

Il est grand temps d’admettre que les populations civiles de l’Occident et des pays du Sud sont toutes victimes de la violence dans ce type de guerre. Cette dernière continuera à alimenter le genre de haine mutuelle et de pharisaïsme ardent à l’égard de l’ennemi qui offre un prétexte terrifiant à ce qui semble maintenant destiné à être une condition de guerre permanente.

Ce qui a radicalement changé, et qui commence à traumatiser l’Occident, ce sont les capacités à riposter et la stratégie de ces adversaires non-occidentaux, non et quasi-étatiques.

Les modèles d’intervention coloniaux, et même postcoloniaux étaient tous unilatéraux, avec la zone de combat délimitée de manière fiable chez l’autre, à distance, évitant ainsi toute menace pour la sécurité et la sérénité des sociétés occidentales. Maintenant que la violence est réciproque, même si asymétrique (c’est à dire que chaque camp utilisent les tactiques correspondant à ses capacités technologiques et imaginatives) l’équilibre des forces a radicalement changé, et donc notre façon de penser et d’agir le doivent aussi, si nous voulons rompre le cercle vicieux de la violence et pouvoir vivre à nouveau en paix et en sécurité.

Les enjeux sont élevés. Il faut ou rompre avec les conceptions obsolètes de la guerre, ou trouver une diplomatie qui puisse s’adapter à la foire d’empoigne du 21ième siècle.

Qu’une diplomatie créative et secrète, capable de troquer la fin des interventions venues du haut contre la fin du terrorisme venu d’en bas, puisse émerger de ce sac de nœuds, c’est la question obsédante qui plane sur l’avenir de l’homme.

Si ce saut conceptuel radical doit se faire, il est peu probable qu’il vienne de l’initiative des bureaucraties gouvernementales, mais plutôt des pressions énormes exercées par les peuples assiégés du monde.

Ce qui est en partie nécessaire, aussi étrange que cela puisse paraître étant donné l’obsession du sans frontière de l’âge numérique et de la dynamique de l’économie mondialisée, c’est un retour aux structures sécuritaires du système westphalien d’états territoriaux souverains.

Ces structures n’ont peut-être jamais réellement prévalu dans le passé, étant donné les manœuvres des acteurs politiques et les rapports hiérarchiques des systèmes coloniaux et des empires régionaux, mais elles avaient pour idéal des assises constitutionnelles partagées de l’ordre mondial.

Avec l’avènement du champ de bataille mondial, cet idéal doit maintenant devenir le fondement existentiel des relations entre états, insistant sur l’inviolabilité des normes de non-intervention dans le cadre d’un système de sécurité mondial basé sur le territoire. Ceci ne résoudrait pas le problème du jour au lendemain, et ne surmonterait qu’indirectement les défis internes posés par les minorités que nous nous sommes aliénées.

Évidemment, l’approche proposée pourrait avoir des répercussions défavorables sur la protection internationale des droits de l’homme et affaiblir les procédures mondiales d’asile pour les personnes que la guerre civile, la pauvreté et le changement climatique ont déplacées.

Ces questions méritent qu’on leur consacre une attention concertée, mais dans l’immédiat la priorité est de rétablir un minimum d’ordre sans lequel il ne peut persister d’ordre politique consensuel aux normes acceptables.

Et ceci ne peut survenir, le cas échéant, que grâce à des dispositions de facto ou de jure qui renoncent à toute forme de violence, quelle soit l’œuvre des états ou de mouvements radicaux.

* Richard Falk est professeur émérite américain de droit international à l’Université de Princeton. Il vient de terminer un mandat de six ans en tant que Rapporteur spécial des Nations Unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés. Il est membre de la Transnational Foundation for Future Research, qui a en premier publié cet essai.

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30 mars 2016 - Counterpunch - Cet article peut être consulté à :
http://www.counterpunch.org/2016/03...
Traduction : Info-Palestine.eu - MJB


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